Découverte des formations souhaitées par les élèves (santé, sciences, ingénierie, droit, sciences politiques, psychologie, architecture…)

Un programme dense pour les dix-huit élèves de 1re S et sept élèves de 1re ES dans le cadre d’une « action pilote pour l’’orientation » (APO) ! Accompagnés de deux professeurs de mathématiques et d’un professeur d’histoire et géographie, ils ont eu l’occasion de se rendre dans les universités Paris I-Panthéon-Sorbonne, Paris V-Descartes et Pierre-et-Marie-Curie  (UPMC, dite encore « Paris VI »), l’École nationale supérieure d’architecture de Paris-Belleville (ENSA-PB) ou encore les classes préparatoires et BTS du lycée Marcelin-Berthelot à Saint-Maur-des-Fossés.

 

Pour sa part, le SORES les a accompagnés à l’université Pierre-et-Marie-Curie (UPMC) et à l'Université Paris-Descartes.

L’UPMC est une université d’excellence en sciences et en médecine, composée de sept UFR (unités de formation et de recherche). Elle est membre fondateur de plusieurs pôles de recherche et d’enseignement supérieur et réunit l’École polytechnique universitaire Polytech'Paris-UPMC, l’Institut d’astrophysique de Paris, l’Institut Henri Poincaré et trois stations marines à Roscoff, Banyuls et Villefranche-sur-Mer, qui ont le statut d'observatoire des sciences de l'Univers.

Elle accueille plus de 30 000 étudiants et, parmi ses illustres « Anciens », l’ont peut citer plusieurs prix Nobel – de médecine, comme Françoise Barré-Sinoussi (2008) et Serge Haroche (2012), ou de physique, comme Claude Cohen-Tannoudji (1997) et Pierre-Gilles de Gennes (1991) – ainsi que Cédric Villani, distingué en 2010 par la médaille Fields (l'équivalent du prix Nobel en mathématiques).

Claire Le Goff, directrice adjointe de l’école d’ingénieur intégrée à l’UPMC, l’École Polytech'Paris-UPMC, a présenté cet établissement aux élèves et répondu à leurs questions (sur les conditions d’admission notamment). Les jeunes visiteurs ont pu avoir accès au laboratoire de recherche de robotique du CNRS dont les travaux portent sur l’assistance aux gestes médicaux et thérapeutiques : conception et commande de systèmes interactifs pour la chirurgie et la rééducation fonctionnelle.

 

À l'université Paris-Descartes, c’est sur le site historique de l'ancienne Faculté de médecine, créée en 1803, que les élèves ont été reçus par Christiane Orain, directrice du service d’offre de formation et insertion professionnelle (SOFIP). Répondant à la curiosité des élèves, l’équipe du SOFIP a présenté les UFR de psychologie, santé et droit, en axant les interventions sur la vie à l’université : organisation des études, contrôles des connaissances, tutorat, rôle des professeurs référents… Ils ont également pu visiter le musée de l’histoire de la médecine.

Paris Descartes compte plus de 38 0000 étudiants. Avec ses 9 UFR de formation et son IUT (institut universitaire de technologie), elle couvre l’ensemble des connaissances en sciences de l’homme et de la santé. Elle est la seule université en Île-de-France à proposer à la fois des études de médecine, pharmacie et dentaire. Son pôle santé est reconnu en Europe et dans le monde entier pour la qualité de ses formations et l’excellence de sa recherche.

Atelier de travail avec le SORES

En complément des visites sur le terrain ainsi qu’au salon européen de l’éducation, un atelier de travail a été animé à l’AEFE, le 22 novembre, par Fabien Gorszczyk, conseiller en orientation et enseignement supérieur. L’objectif de cet atelier ? Réponses aux nombreuses questions des élèves en pleine réflexion sur leur projet d’études supérieures et connaître l’offre de formation post-bac en France.

Laurent Métais, adjoint au chef du service de l’orientation, a présenté le programme de bourses Excellence-Major qui est destiné aux meilleurs bacheliers étrangers des établissements du réseau AEFE souhaitant poursuivre leurs études supérieures en France.

Moments de culture et de détente

Le séjour a été également marqué par des moments plus ludiques, avec visites de musées et de monuments parisiens mais aussi spectacles (deux pièces de théâtre et la comédie musicale, West Side Story, jouée au Châtelet). Il a aussi été l’occasion, pour certains jeunes, d’une première découverte de la vie en auberge de jeunesse (organisation des repas, faire les courses...) préfigurant la vie d’un futur étudiant.