Postes d'expatriés à pourvoir

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Personnels de direction


Pour diriger ses établissements français à l’étranger, l’Agence recrute tous les ans des personnels de direction, expatriés, fonctionnaires titulaires du ministère français de l’Education nationale et de la jeunesse détachés sur un contrat de droit public de trois ans renouvelable par reconduction expresse pour deux périodes d’une année. L’implantation géographique du poste, la diversité des élèves, des professeurs, des personnels et des missions de l’enseignement français à l’étranger ainsi que la nature du rôle de l’expatrié enrichissent le métier de proviseur(e) et de membre de l’encadrement. Elles génèrent des contraintes spécifiques.

L’attention des candidats à un poste de direction est attirée sur la spécificité des établissements français à l’étranger. Acteurs de la politique de rayonnement culturel, linguistique et de coopération éducative de la France, financés conjointement par les familles et par l’Etat et soumis d’abord au droit local, ces établissements ne peuvent être appréhendés comme les établissements de France. La proviseure expatriée ou le proviseur expatrié doit sensibiliser les personnels nouvellement arrivés aux caractères originaux de leur établissement d’affectation.

La mission de responsable d’établissement s’inscrit dans ce contexte particulier marqué par la richesse et la diversité de la communauté éducative, la variété et la complexité des missions qui conduisent la cheffe ou le chef d’établissement à adapter méthodes, comportements et contenus d’enseignement à un contexte local parfois très différent du contexte en France et à prendre en compte la nécessité d’offrir aux élèves un double enracinement dans la culture française et dans celle du pays-hôte. Une majorité des établissements français à l’étranger est gérée par des comités de gestion et/ou associations avec lesquelles la proviseure ou le proviseur doit nouer des relations de confiance.

Compte tenu des fortes marges d’autonomie de ces établissements, en particulier en matière de gestion des ressources humaines et de gestion financière, les proviseurs voient leurs missions élargies et sont la clef de voûte du système de gouvernance de nos établissements. De plus, au-delà de ses missions d’éducation, l’établissement contribue à la politique de rayonnement linguistique et culturel et de coopération éducative conduite par le poste diplomatique. La proviseure ou le proviseur, qui s’appuie sur son équipe de direction, exerce ses fonctions en étroite collaboration avec le service de coopération et d’action culturelle de l’Ambassade et sous l’autorité de l’Ambassadeur.

Dans ce cadre, la proviseure ou le proviseur, collaborateur proche du directeur de l’Agence élabore et met en œuvre le projet d’établissement. Au fait des textes officiels et des publications pédagogiques majeures, la proviseure expatriée ou le proviseur expatrié est un référent sur le plan pédagogique et joue un rôle incitatif fort dans la réflexion menée au sein de l’équipe d’enseignants, pour la production d’outils pédagogiques adaptés au contexte local et pour l’insertion harmonieuse, utile et efficace de l’établissement dans son environnement.

Ces postes sont soumis à un entretien préalable.



Les postes d'expatriés

L’activité des établissements français à l’étranger s’inscrit dans la politique culturelle, éducative et de coopération menée par la France sous l’autorité de l’ambassadeur dans le pays hôte.

Les personnels expatriés sont recrutés par le directeur de l’AEFE pour contribuer, par leurs actions concrètes, initiatives et propositions, à la qualité et à la conformité de l’enseignement dispensé, au bon fonctionnement des établissements et au rayonnement de la langue et de la culture française.

Leurs missions sont précisées dans une lettre de mission jointe à leur contrat. Les personnels expatriés sont recrutés après avis de la commission paritaire centrale compétente sur des contrats d’une période de trois ans, renouvelables par reconduction expresse pour deux périodes d’un an.
  • L’implantation géographique de l’établissement, la diversité des élèves, de la communauté éducative, des missions de l’enseignement français à l’étranger ainsi que la mission spécifique de l’expatrié enrichissent le métier d’enseignant et créent des contraintes spécifiques.
  • En raison de sa position, le personnel expatrié est considéré comme un représentant de la France, de sa culture, et de son savoir-faire en matière d’éducation. Ses actes et ses propos seront ainsi susceptibles de prendre une signification particulière et d’avoir un retentissement dépassant la simple expression de l’individu.
  • L’attention des personnels est appelée sur la spécificité des établissements français à l’étranger qui scolarisent des élèves français et des élèves étrangers dont la langue française n’est pas toujours la langue maternelle. Ils doivent mesurer avec soin les caractères originaux de leurs établissements d'affectation et les prendre en considération.
  • Le personnel expatrié s’implique dans la vie de son établissement en participant à l’élaboration du projet d’établissement, à la conception de projets et à leur mise en œuvre.

Les personnels expatriés (hors personnels de direction) dressent annuellement, en fonction du contenu de leur lettre de mission, un bilan de leur activité qu’ils adressent, sous couvert de son chef d’établissement, de son IEN, au chef du service pédagogique et au directeur de l’Agence.

Postes vacants ou susceptibles d’être vacants :
  • Personnels de direction (chefs d’établissements et adjoints),
  • Inspecteurs de l’Education nationale (IEN),
  • Personnels administratifs et financiers (Agents comptables secondaires, Secrétaires Généraux, Directeurs Administratifs et Financiers- Agents comptables secondaires, Directeurs Administratifs et Financiers)
  • Conseillers Principaux d’Education (CPE)
  • Enseignants Expatriés à mission de Conseil Pédagogique du 2d degré (EEMCP2)
  • Personnels du 1er degré (Directeurs d’école, Enseignants maître-formateur, Conseillers pédagogiques auprès d’un inspecteur de l’éducation nationale en résidence)
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Personnels d'inspection


Les inspectrices et inspecteurs de l’éducation nationale en résidence à l’étranger y représentent la France, sa culture et son savoir-faire en matière d’éducation. Ces personnes sont localement placées sous la haute autorité du chef de poste diplomatique. Par leurs apports d’expertise et leurs actions de contrôle/audit, d’information, de formation, d’animation et d’accompagnement, elles sont parties prenantes de la politique culturelle, éducative et de coopération conduite par la France dans leur pays de résidence, tout comme dans la zone de compétence pédagogique qui leur est confiée. En qualité d’agent de l’AEFE, elles sont également placées sous l’autorité de la directrice de l’éducation, de l’orientation et de la formation (DEOF) du siège de l’Agence à Paris. Les inspectrices et inspecteurs de l’éducation nationale expatriés veillent à la mise en œuvre des orientations pédagogiques du Ministère de l’Education nationale et de la jeunesse, auxquelles s’ajoutent celles plus spécifiques de l’A.E.F.E. Elles ou ils sont donc particulièrement attentifs à la bonne application des programmes de l’enseignement primaire pour le premier degré.
Leurs actions d’appui et de conseil auprès des directeurs d’école et des chefs d’établissement est un levier essentiel de leur animation pédagogique de zone.

En fonction des évolutions du réseau d’enseignement français à l’étranger, les zones d’affectation sont susceptibles d’évolution.

Ces postes sont pourvus après un entretien de recrutement en présence de repésentants de l’Agence et de l’IGESR.



Les postes d'expatriés

L’activité des établissements français à l’étranger s’inscrit dans la politique culturelle, éducative et de coopération menée par la France sous l’autorité de l’ambassadeur dans le pays hôte.

Les personnels expatriés sont recrutés par le directeur de l’AEFE pour contribuer, par leurs actions concrètes, initiatives et propositions, à la qualité et à la conformité de l’enseignement dispensé, au bon fonctionnement des établissements et au rayonnement de la langue et de la culture française.

Leurs missions sont précisées dans une lettre de mission jointe à leur contrat. Les personnels expatriés sont recrutés après avis de la commission paritaire centrale compétente sur des contrats d’une période de trois ans, renouvelables par reconduction expresse pour deux périodes d’un an.
  • L’implantation géographique de l’établissement, la diversité des élèves, de la communauté éducative, des missions de l’enseignement français à l’étranger ainsi que la mission spécifique de l’expatrié enrichissent le métier d’enseignant et créent des contraintes spécifiques.
  • En raison de sa position, le personnel expatrié est considéré comme un représentant de la France, de sa culture, et de son savoir-faire en matière d’éducation. Ses actes et ses propos seront ainsi susceptibles de prendre une signification particulière et d’avoir un retentissement dépassant la simple expression de l’individu.
  • L’attention des personnels est appelée sur la spécificité des établissements français à l’étranger qui scolarisent des élèves français et des élèves étrangers dont la langue française n’est pas toujours la langue maternelle. Ils doivent mesurer avec soin les caractères originaux de leurs établissements d'affectation et les prendre en considération.
  • Le personnel expatrié s’implique dans la vie de son établissement en participant à l’élaboration du projet d’établissement, à la conception de projets et à leur mise en œuvre.

Les personnels expatriés (hors personnels de direction) dressent annuellement, en fonction du contenu de leur lettre de mission, un bilan de leur activité qu’ils adressent, sous couvert de son chef d’établissement, de son IEN, au chef du service pédagogique et au directeur de l’Agence.

Postes vacants ou susceptibles d’être vacants :
  • Personnels de direction (chefs d’établissements et adjoints),
  • Inspecteurs de l’Education nationale (IEN),
  • Personnels administratifs et financiers (Agents comptables secondaires, Secrétaires Généraux, Directeurs Administratifs et Financiers- Agents comptables secondaires, Directeurs Administratifs et Financiers)
  • Conseillers Principaux d’Education (CPE)
  • Enseignants Expatriés à mission de Conseil Pédagogique du 2d degré (EEMCP2)
  • Personnels du 1er degré (Directeurs d’école, Enseignants maître-formateur, Conseillers pédagogiques auprès d’un inspecteur de l’éducation nationale en résidence)
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Personnels administratifs

 

Dans les établissements en gestion directe qui sont des services déconcentrés de l’Agence :

La secrétaire générale ou le secrétaire général organise le fonctionnement et la gestion administrative et financière d’un établissement en gestion directe de l’AEFE.

La personne assure le pilotage et le suivi opérationnel des instances du groupement dont certaines qu’elle pourra présider par délégation du chef d’établissement. En appui du chef d’établissement, elle a un rôle majeur en matière de dialogue social.

Elle est membre de l’équipe de direction et exerce, à ce titre, un rôle de conseil juridique et fonctionnel auprès du chef d’établissement dans un souci de facilitation et de dialogue de gestion.

Sous son autorité :
  • Elle est associée à la définition de la politique budgétaire de l’établissement et est chargée de l’élaboration du budget et de sa mise en œuvre dans le respect des exigences réglementaires de la GBCP et des directives de l’Agence. Dans ce cadre, elle contribue au développement d’une fonction achat performante, à la mise en place du contrôle interne budgétaire et au renforcement du contrôle de gestion. Elle anticipe et contrôle la cohérence de l’action administrative, notamment au regard des réglementations française et locale.
  • Elle a en charge la comptabilité budgétaire et la production des documents de suivi et de contrôle : exécution du budget en recettes et en dépenses.
  • Elle introduit ou développe les éléments d’analyse financière et met en œuvre le contrôle interne budgétaire.
  • Elle pilote la gestion des ressources humaines : dialogue social, politique salariale, gestion des contrats, plan de formation des personnels non-enseignants... Elle a en charge la mise en œuvre de cette gestion en conformité avec le droit local et les directives de l’Agence et l’analyse de leur impact budgétaire.
  • Elle mobilise, anime et manage les équipes de collaborateurs (personnels administratifs et personnels de service).
Elle pilote la gestion matérielle de l’établissement et, en liaison étroite avec le chef d’établissement, prête une attention particulière aux questions immobilières (schéma pluriannuel de stratégie immobilière en cours d’exécution), ainsi qu’aux questions liées à la sécurité.

Elle est l’interlocuteur privilégié de l’agent comptable secondaire de l’établissement avec qui Elle devra travailler en étroite collaboration.

 

L’agent comptable secondaire (ACS) d’établissements en gestion directe de l’AEFE, sous l’autorité de l’agent comptable principal (ACP), occupe les fonctions traditionnellement dévolues à un comptable public telles que fixées par le décret 2012-1246 du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique.

Cette personne est seule chargée de la tenue de la comptabilité générale, de la prise en charge des ordres de recouvrer et de payer, du recouvrement des titres de recettes, de l'encaissement des recettes et du paiement des dépenses dont les dépenses de rémunération des personnels de droit local, de la conservation des pièces, du maniement des fonds et des mouvements sur les comptes de disponibilité et de la tenue de la comptabilité patrimoniale.

Elle s'assure, par ses contrôles, du respect des principes et des règles de comptabilité générale, ainsi que de la qualité du contrôle interne comptable relatif aux opérations dont elle a la charge.

Dans ce cadre, elle s’assure du bon déploiement des outils de contrôle interne comptable au sein de l’agence comptable secondaire et veille à l’animation de ce dispositif. Elle réalise des rapports sur l’ensemble des contrôles effectués et les transmet à l’ordonnateur secondaire.

Elle met en œuvre tous les moyens dont elle dispose pour un recouvrement optimal des droits de scolarité et autres créances de l’établissement.

En partenariat étroit avec l’ordonnateur secondaire (notamment avec le secrétaire général expatrié de chaque établissement quand il existe), elle assure un suivi régulier de la trésorerie de l’établissement au travers d’un plan de trésorerie.

Elle se charge de produire des comptes de qualité dans les délais prévus pour la confection du compte financier unique de l’AEFE conformément aux directives de l’ACP.

Membre de l’équipe de Direction de l’établissement, elle assiste, à de nombreuses instances et commissions.

L’ACS apporte son expertise, en appui à l’ordonnateur secondaire, dans la réalisation d’opérations relevant des domaines financiers et comptables et est un acteur majeur de la modernisation de la politique financière de l’établissement.

 

La Directrice administrative et financière ou le Directeur Administratif et Financier - Agent Comptable Secondaire (DAF ACS), membre de l’équipe de direction, cette personne participe activement à la vie de l’établissement, à la détermination de sa politique et au bon fonctionnement du dialogue social. Elle assure globalement les missions précédemment définies de secrétaire général et d’agent comptable secondaire.

Sous l’autorité du chef d’établissement, elle est associée à la définition de la politique budgétaire de l’établissement et est chargée de l’élaboration du budget et de sa mise en œuvre dans le respect des exigences réglementaires de la GBCP et des directives de l’Agence. Dans ce cadre, elle contribue au développement d’une fonction achat performante, à la mise en place du contrôle interne budgétaire et au renforcement du contrôle de gestion. Elle anticipe et contrôle la cohérence de l’action administrative, notamment au regard des réglementations française et locale.

En liaison étroite avec le chef d’établissement, elle prête une attention particulière aux questions immobilières, ainsi qu’aux questions liées à la sécurité.

Sous l’autorité de l’Agent comptable principal (ACP), en tant qu’agent comptable secondaire, elle occupe les fonctions traditionnellement dévolues à un comptable telles que fixées par le décret 2012-1246 du 07 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique. Elle est seule chargée de la tenue de la comptabilité générale, de la prise en charge des ordres de recouvrer et de payer, du recouvrement des titres de recettes, de l'encaissement des recettes et du paiement des dépenses dont les dépenses de rémunération des personnels de droit local, de la conservation des pièces, du maniement des fonds et des mouvements sur les comptes de disponibilité et de la tenue de la comptabilité patrimoniale.

Elle s'assure, par ses contrôles, du respect des principes et des règles de comptabilité générale, ainsi que de la qualité du contrôle interne comptable relatif aux opérations dont elle a la charge.

Dans ce cadre, elle s’assure du bon déploiement des outils de contrôle interne comptable au sein de l’agence comptable secondaire et veille à l’animation de ce dispositif. Elle réalise des rapports sur l’ensemble des contrôles effectués et les transmet à l’ordonnateur secondaire.

Elle met en œuvre tous les moyens dont elle dispose pour un recouvrement optimal des droits de scolarité et autres créances de l’établissement.

En partenariat étroit avec l’ordonnateur secondaire, elle assure un suivi régulier de la trésorerie de l’établissement au travers d’un plan de trésorerie.

Elle se charge de produire des comptes de qualité dans les délais prévus pour la confection du compte financier unique de l’AEFE conformément aux directives de l’ACP.

L’ACS apporte son expertise, en appui à l’ordonnateur secondaire, dans la réalisation d’opérations relevant des domaines financiers et comptables et est un acteur majeur de la modernisation de la politique financière de l’établissement.

 

Dans les établissements conventionnés avec l’AEFE et gérés par des associations ou des fondations :

La Directrice administrative et financière ou le Directeur Administratif et Financier (DAF), membre de l’équipe de direction, participe activement à la vie de l’établissement et aux divers projets. Cette personne doit faire preuve d’une grande capacité d’adaptation et établir des relations de qualité avec l’organisme gestionnaire qui a en charge la gestion administrative et financière de l’établissement.

Elle est le conseiller permanent du chef d’établissement et de l’organisme gestionnaire pour toutes les questions afférentes à la gestion de l’établissement, dans un souci de facilitation, de dialogue de gestion et de respect des règlementations.

Elle a pour responsabilité de veiller à la mise en place d’actions de formation pour tous les personnels non-enseignants afin de mieux adapter ces personnels aux évolutions de l’établissement.

En liaison étroite avec le chef d’établissement et le comité de gestion, elle prête une attention particulière aux questions immobilières et liées à la sécurité.

Le suivi régulier de la trésorerie et la maîtrise du budget en lien avec le conseil de gestion sont absolument nécessaires.

Elle n’a pas la responsabilité de comptable public mais produit à l’AEFE le compte financier qui relève juridiquement de l’organisme gestionnaire. Ces postes sont soumis à un entretien préalable.
  • AAE : attaché(e) de l’administration de l’Etat
  • APAE : attaché(e) principal(e) de l’administration de l’Etat
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Personnels d'éducation



L’activité des établissements français à l’étranger s’inscrit dans la politique culturelle, éducative et de coopération menée par la France sous l’autorité de l’ambassadeur dans le pays hôte.

Les personnels expatriés sont recrutés par le directeur de l’AEFE pour contribuer, par leurs actions concrètes, initiatives et propositions, à la qualité et à la conformité de l’enseignement dispensé, au bon fonctionnement des établissements et au rayonnement de la langue et de la culture française.

Leurs missions sont précisées dans une lettre de mission jointe à leur contrat. Les personnels expatriés sont recrutés après avis de la commission paritaire centrale compétente sur des contrats d’une période de trois ans, renouvelables par reconduction expresse pour deux périodes d’un an.
  • L’implantation géographique de l’établissement, la diversité des élèves, de la communauté éducative, des missions de l’enseignement français à l’étranger ainsi que la mission spécifique de l’expatrié enrichissent le métier d’enseignant et créent des contraintes spécifiques.
  • En raison de sa position, le personnel expatrié est considéré comme un représentant de la France, de sa culture, et de son savoir-faire en matière d’éducation. Ses actes et ses propos seront ainsi susceptibles de prendre une signification particulière et d’avoir un retentissement dépassant la simple expression de l’individu.
  •  L’attention des personnels est appelée sur la spécificité des établissements français à l’étranger qui scolarisent des élèves français et des élèves étrangers dont la langue française n’est pas toujours la langue maternelle. Ils doivent mesurer avec soin les caractères originaux de leurs établissements d'affectation et les prendre en considération.
  • Le personnel expatrié s’implique dans la vie de son établissement en participant à l’élaboration du projet d’établissement, à la conception de projets et à leur mise en œuvre.
Les personnels expatriés (hors personnels de direction) dressent annuellement, en fonction du contenu de leur lettre de mission, un bilan de leur activité qu’ils adressent, sous couvert de son chef d’établissement, de son IEN, au chef du service pédagogique et au directeur de l’Agence.

Postes vacants ou susceptibles d’être vacants :
  • Personnels de direction (chefs d’établissements et adjoints),
  • Inspecteurs de l’Education nationale (IEN),
  • Personnels administratifs et financiers (Agents comptables secondaires, Secrétaires Généraux, Directeurs Administratifs et Financiers- Agents comptables secondaires, Directeurs Administratifs et Financiers)
  • Conseillers Principaux d’Education (CPE)
  • Enseignants Expatriés à mission de Conseil Pédagogique du 2d degré (EEMCP2)
  • Personnels du 1er degré (Directeurs d’école, Enseignants maître-formateur, Conseillers pédagogiques auprès d’un inspecteur de l’éducation nationale en résidence)
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Personnels du 1er degré


Directeurs d'école

Les postes de directrices ou directeurs d'école sont ouverts en priorité à des institutrices ou professeures des écoles ou instituteurs ou professeurs des écoles exerçant actuellement les fonctions de directeur.

Les candidats devront pouvoir justifier d'une expérience réussie dans la fonction d’au moins trois ans (année de candidature incluse) et d’une liste d’aptitude à la direction d’école en cours de validité.

Sont exigées par ailleurs une bonne maîtrise de l'outil informatique et éventuellement d’une capacité à s'exprimer couramment dans une langue étrangère.

Le directeur d'école assure sous l’autorité du chef d’établissement:
  • la gestion administrative et pédagogique de l'école primaire ;
  • la coordination et l'animation pédagogiques de l'équipe enseignante ;
  • l’élaboration et la mise en œuvre du projet d'école, dans un souci d’articulation avec le projet d’établissement lorsque l’école est intégrée à un établissement du second degré.
En outre, dans le contexte spécifique d’un établissement français à l’étranger, il participe à :
  • l'élaboration du plan de formation continue des personnels de la zone de rattachement, (notamment dans le cadre du séminaire annuel des chefs d'établissement et des directeurs d'école) ;
  • la mise en œuvre du Plan de formation continue des personnels dans le cadre de son école voire dans le cadre élargi de la zone de rattachement ;
  • l’encadrement et l’animation d’actions de formation au bénéfice de personnels de droit local.
Le directeur d’école exerce sa mission sous le contrôle pédagogique de l’inspecteur de l’éducation nationale de la zone de rattachement.

Lorsque l'école est intégrée à un établissement du second degré, il est placé sous l'autorité directe du chef d'établissement, seul responsable de l'établissement. Il est membre de l’équipe de direction.

Dans les autres cas, le directeur d’école peut être amené à faire fonction de chef d’établissement, lorsque l’offre de formation s’étend à des classes du second degré avec tout ou partie de l’enseignement placé sous la tutelle du CNED. Il est alors associé à la gestion financière de l’établissement (dans les limites prévues par les statuts de l'association gestionnaire et par la convention passée entre cette dernière et l'AEFE, pour ce qui concerne les établissements conventionnés) ce qui le conduit à travailler en relation étroite avec l’instance gestionnaire de l’établissement.

Ces postes sont soumis à un entretien préalable.

Enseignants maîtres formateurs en établissement (EMFE)

Les enseignants et enseignantes maîtres formateurs en établissement sont titulaires du CAFIMF ou du CAFIPEMF et ont une expérience avérée de l’animation pédagogique. Ils possèdent, par ailleurs, une bonne maîtrise de l'outil informatique.

La personne recrutée est placée sous l'autorité du chef d'établissement et du directeur d’école, elle effectue un service partiel d’enseignement et, sous l’autorité conjointe de l’IEN en résidence, elle est chargée d’une mission de maître-formateur qui se décline notamment dans les tâches suivantes :
  • accueil dans leur classe d’enseignants - en particulier non titulaires - de l’école ou d’autres écoles de proximité ;
  • visites-conseils dans les classes des intéressés ;
  • mise en place de plans annuels de formation de ces personnels (analyse des besoins/conception, animation et évaluation des actions de formation premier degré et inter degrés) ;
  • aide à la mise en œuvre de la loi de refondation et de programmation de l’école et, de façon plus générale, des orientations pédagogiques du MEN et de l'AEFE, notamment les dispositifs liés au plurilinguisme ;
  • suivi des projets pédagogiques de l’école en relation étroite avec le directeur ;
  • le cas échéant, encadrement et interventions lors de formations hors établissement d'affectation, dans le cadre du plan de formation continue des personnels de la zone de rattachement.
Ces postes sont soumis à un entretien préalable.

Conseillers pédagogiques affectés auprès d’un inspecteur de l’éducation nationale en résidence (CPAIEN)

Les conseillères et conseillers pédagogiques affectés auprès d’un inspecteur de l’éducation nationale en résidence sont placés sous l'autorité de l’IEN. Elles ou Ils sont titulaires du CAFIMF ou du CAFIPEMF et ont une expérience avérée de l’animation pédagogique acquise en France en qualité de maître formateur généraliste. Elles ou Ils possèdent une bonne maîtrise de l'outil informatique.

La personne recrutée à vocation à intervenir sur l’ensemble de la zone de compétence de l’IEN en résidence, à trois niveaux :
  • auprès des enseignants des écoles maternelles et élémentaires, pour les accompagner dans leur pratique quotidienne et pour répondre à toute demande d’aide et de conseil,
  • auprès des écoles, dans le cadre de la loi de refondation et de programmation de l’école et du contexte plurilingue des écoles du réseau, pour assister les équipes enseignantes (notamment en les aidant à bien gérer leur temps et à optimiser l’organisation et le fonctionnement des cycles pédagogiques), pour aider à l’élaboration, à la réalisation et au suivi des projets d’école, pour soutenir la mise en œuvre d’activités nouvelles et accompagner les équipes dans la réalisation de ces activités,
  • au niveau de la zone, pour conduire des actions de formation inscrites au plan de formation continue des personnels (premier degré et inter degrés) ou pour accomplir une mission spécifique définie en concertation étroite avec l’inspecteur en résidence.
Ces postes sont soumis à un entretien préalable.




Les postes d'expatriés

L’activité des établissements français à l’étranger s’inscrit dans la politique culturelle, éducative et de coopération menée par la France sous l’autorité de l’ambassadeur dans le pays hôte.

Les personnels expatriés sont recrutés par le directeur de l’AEFE pour contribuer, par leurs actions concrètes, initiatives et propositions, à la qualité et à la conformité de l’enseignement dispensé, au bon fonctionnement des établissements et au rayonnement de la langue et de la culture française.

Leurs missions sont précisées dans une lettre de mission jointe à leur contrat. Les personnels expatriés sont recrutés après avis de la commission paritaire centrale compétente sur des contrats d’une période de trois ans, renouvelables par reconduction expresse pour deux périodes d’un an.
  • L’implantation géographique de l’établissement, la diversité des élèves, de la communauté éducative, des missions de l’enseignement français à l’étranger ainsi que la mission spécifique de l’expatrié enrichissent le métier d’enseignant et créent des contraintes spécifiques.
  • En raison de sa position, le personnel expatrié est considéré comme un représentant de la France, de sa culture, et de son savoir-faire en matière d’éducation. Ses actes et ses propos seront ainsi susceptibles de prendre une signification particulière et d’avoir un retentissement dépassant la simple expression de l’individu.
  • L’attention des personnels est appelée sur la spécificité des établissements français à l’étranger qui scolarisent des élèves français et des élèves étrangers dont la langue française n’est pas toujours la langue maternelle. Ils doivent mesurer avec soin les caractères originaux de leurs établissements d'affectation et les prendre en considération.
  • Le personnel expatrié s’implique dans la vie de son établissement en participant à l’élaboration du projet d’établissement, à la conception de projets et à leur mise en œuvre.

Les personnels expatriés (hors personnels de direction) dressent annuellement, en fonction du contenu de leur lettre de mission, un bilan de leur activité qu’ils adressent, sous couvert de son chef d’établissement, de son IEN, au chef du service pédagogique et au directeur de l’Agence.

Postes vacants ou susceptibles d’être vacants :
  • Personnels de direction (chefs d’établissements et adjoints),
  • Inspecteurs de l’Education nationale (IEN),
  • Personnels administratifs et financiers (Agents comptables secondaires, Secrétaires Généraux, Directeurs Administratifs et Financiers- Agents comptables secondaires, Directeurs Administratifs et Financiers)
  • Conseillers Principaux d’Education (CPE)
  • Enseignants Expatriés à mission de Conseil Pédagogique du 2d degré (EEMCP2)
  • Personnels du 1er degré (Directeurs d’école, Enseignants maître-formateur, Conseillers pédagogiques auprès d’un inspecteur de l’éducation nationale en résidence)
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Personnels du 2d degré


Enseignantes expatriées ou enseignants expatriés à mission de conseil pedagogique du second degré (EEMCP2)

Les EEMCP2 sont des professeures agrégées ou certifiées, ou des professeurs agrégés ou certifiés sélectionnés pour leurs compétences en matière de formation initiale et continue, d’animation d’équipes, ainsi que pour leur expertise disciplinaire et transversale.

Il en existe 2 types :
  • EEMCP2 de zone ;
  • EEMCP2 de pays ;
Les zones de compétences sont les zones actuelles, mais sont susceptibles d’évolution.

Pour cette mission de conseil pédagogique, les candidats devront justifier d’une expérience récente et significative :
  • de l’accompagnement d’un stagiaire en formation initiale, d’un recruté local ou d’un personnel enseignant en difficulté ;
  • de l’animation ou co-animation, en qualité de formateur AEFE ou en académie, d’un ou plusieurs stages de formation initiale ou continue dans tout domaine relevant de son champ disciplinaire élargi.

Le certificat d’aptitude aux fonctions de formateur académique (CAFFA) sera considéré comme un atout. La possession d’un master Pratiques de l’Ingénierie de la Formation (PIF) sera prise en considération.

Une expérience récente de l’enseignement en collège ou en lycée est indispensable.

Les missions ci-dessous peuvent leur être confiées :

Mission de formation continue :
  • participation au processus d’élaboration du plan de formation continue des personnels des zones ;
  • prise en charge de journées de formation à contenu disciplinaire et/ou transversal ;
  • formation sur site des équipes de personnels dont ceux recrutés localement.

Mission de coopération éducative :
  • participation à des projets éducatifs en lien avec des établissements relevant du système éducatif du pays hôte.

Mission d’animation du réseau local :
  • gestion possible du site pédagogique disciplinaire d’établissement ou de zone ;
  • suivi des examens et concours (coordination lors de la correction des épreuves du baccalauréat).

Compte tenu de l’importance de ses missions, l’enseignant expatrié à mission de conseil pédagogique bénéficiera selon son profil d’une décharge de service dont la quotité sera précisée dans la lettre de mission annexée au contrat.

Ces postes sont soumis à un entretien préalable.




Les postes d'expatriés

L’activité des établissements français à l’étranger s’inscrit dans la politique culturelle, éducative et de coopération menée par la France sous l’autorité de l’ambassadeur dans le pays hôte.

Les personnels expatriés sont recrutés par le directeur de l’AEFE pour contribuer, par leurs actions concrètes, initiatives et propositions, à la qualité et à la conformité de l’enseignement dispensé, au bon fonctionnement des établissements et au rayonnement de la langue et de la culture française.

Leurs missions sont précisées dans une lettre de mission jointe à leur contrat. Les personnels expatriés sont recrutés après avis de la commission paritaire centrale compétente sur des contrats d’une période de trois ans, renouvelables par reconduction expresse pour deux périodes d’un an.
  • L’implantation géographique de l’établissement, la diversité des élèves, de la communauté éducative, des missions de l’enseignement français à l’étranger ainsi que la mission spécifique de l’expatrié enrichissent le métier d’enseignant et créent des contraintes spécifiques.
  • En raison de sa position, le personnel expatrié est considéré comme un représentant de la France, de sa culture, et de son savoir-faire en matière d’éducation. Ses actes et ses propos seront ainsi susceptibles de prendre une signification particulière et d’avoir un retentissement dépassant la simple expression de l’individu.
  • L’attention des personnels est appelée sur la spécificité des établissements français à l’étranger qui scolarisent des élèves français et des élèves étrangers dont la langue française n’est pas toujours la langue maternelle. Ils doivent mesurer avec soin les caractères originaux de leurs établissements d'affectation et les prendre en considération.
  • Le personnel expatrié s’implique dans la vie de son établissement en participant à l’élaboration du projet d’établissement, à la conception de projets et à leur mise en œuvre.

Les personnels expatriés (hors personnels de direction) dressent annuellement, en fonction du contenu de leur lettre de mission, un bilan de leur activité qu’ils adressent, sous couvert de son chef d’établissement, de son IEN, au chef du service pédagogique et au directeur de l’Agence.

Postes vacants ou susceptibles d’être vacants :
  • Personnels de direction (chefs d’établissements et adjoints),
  • Inspecteurs de l’Education nationale (IEN),
  • Personnels administratifs et financiers (Agents comptables secondaires, Secrétaires Généraux, Directeurs Administratifs et Financiers- Agents comptables secondaires, Directeurs Administratifs et Financiers)
  • Conseillers Principaux d’Education (CPE)
  • Enseignants Expatriés à mission de Conseil Pédagogique du 2d degré (EEMCP2)
  • Personnels du 1er degré (Directeurs d’école, Enseignants maître-formateur, Conseillers pédagogiques auprès d’un inspecteur de l’éducation nationale en résidence)